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Lorsqu’on parle d’employé difficile, c’est celui qui arbore une attitude négative ou des comportements déviants, et ce, de manière récurrente et non ponctuelle, ou chez qui on soupçonne une mauvaise foi et parfois même une intention volontaire.

Le rôle d’un gestionnaire n’est pas de faire de la psychothérapie. Et l’obligation d’accommodement ne s’applique pas nécessairement aux employés affichant des traits de personnalité difficile. Nous savons tous qu’il est bien plus facile d’accommoder ou d’éviter monsieur « la terreur » que de lui faire face et de le gérer. Et parfois aussi, celui-ci est performant dans son travail, mais il fait subir l’enfer au quotidien à ses collègues. La tolérance de l’entourage professionnel envers monsieur « la terreur » peut engendrer ce qui suit : stress, anxiété, conflits, démotivation et baisse de productivité, absences, violence, plaintes pour harcèlement ou intimidation, etc.

L’employé difficile pourrait entraîner dans son camp d’autres employés, et nous pourrions voir naître la formation de clans. Dans la courbe d’ascension d’un conflit, la formation de clans est une phase très critique et pouvant être très complexe à dénouer; évitez à tout prix d’en arriver là!

Comme employeur, vous avez l’obligation de protéger la santé, la sécurité et la dignité de vos employés à l’égard entre autres du Code civil du Québec et de la Loi sur les normes du travail. Et attention : l’employé a aussi des obligations dans le cadre légal. Il doit exécuter son travail avec prudence, diligence, loyauté, incluant l’obligation de civilité (art. 2088 C.c.Q.).

Comment intervenir et gérer un employé difficile?

N’hésitez pas à nous contacter, nous pourrons vous accompagner dans ces défis!

 

Caroline.

 

 

 

 

 

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